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Découvrez le gaïcian, la langue de Gaïa et de l'Univers

Expressions de base:

                                         

  • Davan Missa la.

Le Bien Vaincra.

  • Bassal fao Douna.

Le Mal Partira.

  • Ita Mica Sam.

Le sort en est jeté./ On jettera le sort.

  • A ca Rahal Aham.

Le Futur doit naître.

  • Davan Bassal lafao Misdoua.

Le Bien et le Mal combattront.

  • Davan Bassal lao Misna.

Le Bien et le Mal cohabiteront.

 

Expressions dans Ahomaïshinals:

 

  • Juleï sisis Mondoleï, jula sisis Ahomaïshinal.

Nous étions habitants de l’Univers, nous serons habitants d’Ahom.

  • Cashtol Astoul lao shosash

La magie et l’humain s’unissent

  • Dic misdouash nyc Aïlieïlal.                         

Et combattent pour la liberté.   

  • Astirul la talis ruria                     

Le meneur les conduira     

  • Dic Aroum ë rahala :

Et une planète naîtra :   

Ahom (qui veut dire avenir)

  • Galipel Oroum poc

Le chant de la terre

  • Caïan la pluash     

Le basculement (traduction littérale: l'ordre tombe)

  • Linaïl la prafash

Le chaos (traduction littérale: l'horizon se brise)

  • Ahomaïshinal Fidwal poc

L'après (traduction littérale: la communauté des Ahomaïshinals)                  

 

                                          

 

Le Gaïcian, appellation orale, est ce que l’on appelle la langue des dieux, les « scripta aurei Â», quand elle est sous forme écrite.

Si on ne comprend pas la culture gaïcianne, on ne peut pas comprendre la structure de la langue. En effet, celle-ci est directement liée à la mythologie ainsi qu’aux récits grandioses, aux maximes fortes de puissance et de solidité. Regardez attentivement les expressions ci-dessus, et vous aurez davantage une idée de ce que cela signifie. Le Gaïcian est avant tout une langue divine, une langue qui exprime le Destin. On ne s’en sert pas pour parler de tout et de rien, mais en grande partie pour mettre en évidence le poids de ce Destin et l’apparence sacrée de la prédiction et de la prédétermination. Les phrases tombent comme catégoriques et prédéfinies, que rien ne peut changer. Elles expriment la rectitude de la vie, et chacune semble évoquer l’inéluctable. Elles rappellent également la sagesse des êtres passés, et c’est ce savoir qui est retranscrit dans la langue actuelle et remise au goût du jour, comme si soudain le passé nous rendait visite et nous tirait la manche pour que l’on regarde en arrière et que l’on n’oublie ni les erreurs ni les heures de gloire et de réussite que connurent les dieux antiques... sans pourtant nous détourner du présent et de l’avenir qui nous attendent. Et nous, tout en sachant que le futur n’est que répétition du passé, nous marchons vers lui et suivons la route déjà tracée pour nous et traversée par d’autres. C’est ça, que cherche à nous inculquer la Langue Divine Gaïcianne.

 

 

Les nombres et chiffres

 

Les nombres (1, 2, 3...) et leurs ordinaux (premier, deuxième...) sont les mêmes. Pour les composés, on accole les nombres.

1 = o.                   6 = eïlami.

2 = se.                  7 = zussebo.

3 = tam.               8 = ninaneni.

4 = cril.                9 = dricotana.

5 = gonaj.            0 = nao.

Exemples de composés :

325 = tamsegonaj.

1019 = onaoodricotana.

 

Remarque : Quand un nombre est composé d’une suite de mêmes chiffres (ex :333, 699.999...), on ajoute la particule « ch Â», puis le nombre de fois où il est écrit.

Parfois, dans certains nombres, il peut ne pas être indiqué, et alors seul le nombre de fois est précisé.

Exemple : 333 = tamchtam ;  699.999 = eïlamidricotanachgonaj...

Ou alors  20 milliards, 20.000.000.000 = senaoonaochdricotana.

(se/nao/o/nao/ch/dricotana)

Pour mieux expliquer, cela signifie : 2 / 0 x 1 / 0 x 9.

 

L'écriture et les symboles

 

Etant une langue sacrée, les caractères brillent comme de l'or. Il en existe pour les sons, bien sûr, mais certains sont des idéogrammes, autrement dit ils se rapportent à des notions.

Ces symboles sont également utilisés en mathémagie.

 

 

 

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